Conserver à l'abri de la lumière, de l'air et de l'humidité.
Le thé blanc est un thé non oxydé. C'est le thé qui connaît la transformation la plus faible par rapport à la feuille fraîche du théier. Ses crus traditionnels sont rares et souvent coûteux.
En dépit de son nom, le thé blanc infusé est jaune pâle. Son nom provient des fins poils d'un blanc argenté sur les bourgeons non ouverts du théier, qui lui donnent un aspect blanchâtre. Les bourgeons non ouverts sont utilisés pour certains types de thé blanc.
Ce qu'on appelle aujourd'hui le thé blanc est peut-être entré dans la création au cours des deux derniers siècles. Les savants et les marchands de thé sont généralement en désaccord sur le début de la première production de thé blanc (comme on l'entend aujourd'hui en Chine). Le thé blanc est peut-être apparu pour la première fois dans une publication anglaise en 1876, où il a été classé dans la catégorie des thés noirs car il n'a pas été initialement [clarifié nécessaire] cuit à la vapeur comme un thé vert pour désactiver les enzymes internes et les microbes externes.
Il est principalement récolté en Chine, principalement dans la province du Fujian, mais plus récemment dans l'est du Népal, à Taiwan, en Thaïlande, à Galle (sud du Sri Lanka) et dans le nord-est de l'Inde.
De jeunes feuilles et des bourgeons sont cueillies, puis séchés au soleil et enfin à l'ombre (ou encore torréfiées par vapeur). La différence avec le thé vert consiste donc en l'absence de flétrissage, de torréfaction et de roulage. Les feuilles de thé blanc conservent donc beaucoup de propriétés des feuilles fraîches du thé. Elles ont également une densité très faible, par rapport à des feuilles roulées ou, à l'extrême, à du thé compressé.
La province du Fujian est l'une des plus connues en matière de thé blanc.
Thé bio noir du sud-ouest de l'Inde au goût franc et à la liqueur rouge cuivrée avec un parfum de fleurs fraîches. Son goût présente des notes de noisettes et de fruits mûrs.